"Ne pas croire qu'on a des droits" et cependant conserver intacte l'exigence de justice et en élaborer une conception radicale. L'injustice n'est pas pensée comme un non-respect des droits, registre qui reste celui des rapports de force, mais comme une violation du consentement, ou un anéantissement de l'être. D'où le viol et l'oppression, deux "horreurs de l'existence humaine", comme exemples et paradigmes de l'injustice.